VTP, l’annulation arbitraire de la possibilité d’utilisation du terminal vénitien de Marittima en concession jusqu’en 2025
La décision du gouvernement - il a dénoncé la compagnie - efface en fait avec un coup d’éponge l’un des ports de croisière les plus prisés au monde
14 Juli 2021
« Cette décision, a souligné la société, de fait efface avec un coup d’éponge l’un des plus appréciés ports de croisière dans le monde par niveau de service, en reportant à un temps pas bien défini le déplacement des activités croisières à Marghera avec le risque concret de mettre la parole fin à l’industrie vénitienne des croisières avec d’énormes dommages un point de vue économique et d’emploi. C’est le plus possible difficile en effet que les compagnies de croisières une fois déplacées les leurs navires dans d’autres ports nationaux ou moins étrangers, décident de les relocaliser à Venise dans des années, c’est pourquoi il est urgence qu’il soit clair sur la voie qui mènera au déplacement à Maghera dont VTP étudie la faisabilité depuis longtemps et pour lequel il a déjà déposé des propositions concrètes n’ont pas trouvé d’écoute ».
« Au cours des neuf dernières années, a rappelé le président de l’entreprise, Fabrizio Espagne - VTP, que je voudrais rappeler est une société de l’actionnariat mixte public-privé, d’une partie a collaboré avec tous les gouvernements successivés, et continue de le faire avec le gouvernement en place, pour déplacer les navires de la Canal de La Giudecca présentant également des projets concrets et en étudiant techniquement des solutions bien au-delà devrait être en concurrence avec un concessionnaire. Mais de l’autre côté il y a aussi les instances et les attentes des membres de VTP et de tous les les parties prenantes concernées ou les travailleurs directs et indirects ainsi que l’ensemble de la filière des sociétés liées à la croisière, dont environ 200 vénitiennes, qui voient néanmoins venir moins leurs droits et restent en attente de certitudes pour leur propre l’avenir. Nous espérons donc que le gouvernement envisagera ces instances ainsi que celles promues par ceux qui sont contraire à la croisière, en évaluant attentivement les propositions déjà faites comme par exemple le Vittorio Emanuele qui permettrait de maintenir en vie la Maritime et avec elle sa excellence, sans l’affecter inversement inévitablement à la fermeture d’ailleurs. Il suffit de rappeler que la finance de projet au sens de l’article 183 du code des marchés publics présentée par notre société en octobre 2019 aux organismes compétents, prévoyait un investissement d’un peu plus de 30 millions d’euros pour les interventions de maintien sur le canal Vittorio Emanuel III conformément au Plan de régulation portuaire en vigueur avec un projet à haute durabilité environnementale et qui prévoyait la valorisation de la Maritime sur laquelle 160 ont été investis millions d’euros de fonds publics et privés ».
« Le dommage que l’on craint lorsqu’il est prévu par le décret ministériel - a ajouté le directeur général de Venise Terminal Passagers, Galliano Di Marco - est significatif, en exclut également les navires plus petits, ceux du secteur du luxe visé par tout le territoire car exemple prince de ce tourisme haut de gamme et avec très haut potentiel de dépenses qui, à partir du 1er août, ne pourront plus arriver à la Maritime. Les dommages doivent nécessairement tenir compte du fait que le marché n’attend pas, à ce jour, les interlocutions avec les compagnies sont assidues, mais il n’est pas donné savoir encore quelles orientations ils prendront pour l’avenir des itinéraires et s’ils comprendront ou non Marghera. D’ailleurs comme par ailleurs à l’article 2 du décret, sera nécessaire non seulement de réparer les quais, mais aussi le canal des Pétroles pour faire transiter les navires de croisière en toute sécurité. En fait, comme le montrent les différentes campagnes de simulation menées par VTP, de la capitainerie du port de Venise, des pilotes et des quatre plus grandes compagnies de croisières au monde, sur ce des interventions de maintien en conformité avec le Plan sont nécessaires Régulateur portuaire en vigueur. En fait - a fait connaître Di Marco - nous savons déjà avec certitude que les compagnies de croisière américaines, notamment Royal Caribbean Cruise Line et Norwegian Cruise Line, nous ont fait savoir leur opposition à placer des navires à Marghera en l’absence de conditions minimales de sécurité. A celles-ci s’ajouteront les navires de luxe qui, pour raisons évidentes n’ont jamais donné leur volonté de se déplacer à Marghera, par exemple Viking, Azamara, Silversea, Ritz Carlton seulement pour citer les plus importantes. Tout cela entraînera une révision en profondeur du plan industriel de la société à la lumière du nouveau décret et qui sera présenté au gouvernement dès que possible avec celui en être récemment approuvé par le conseil d’administration de la société. Bien sûr, nous pourrions le faire dès que possible on sa sait lesquels et combien de quais seront disponibles pour Marghera.
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