Cgil, Cisl et Uil dénoncent les prolixités bureaucratiques et la lenteur de la justice administrative qui bloquent les oeuvres infrastructurales dans le port de Tarente
Remarque le gouvernement. Demandée l'anticipation de l'audience publique du Conseil d'État fixée pour 28 octobre
27 Juni 2014
les secrétariats territoriaux de Tarente de Cgil, de Cisl et d'Uil et les respectives fédérations de catégorie des transports, Filt Cgil, Fit Cisl et Uiltrasporti, ont envoyé une note au Premier Ministre, Matteo Renzi, aux ministres de l'Intérieur, des Infrastructures et Transportes, de la Justice, des Politiques Sociales, de l'Ambient et aux institutions des Pouilles et du territoire ainsi que aux secrétaires Generali nationaux des respectifs syndicats, Susanna Camusso, Raffaele Bonanni et Luigi Angeletti, et de catégorie, de Franco Nasso, de Giovanni Luciano et de Claudio Tarlazzi, pour dénoncer qui retiennent être des intolérables prolixités bureaucratiques ainsi que la lenteur de la justice administrative dont - ils ont souligné - ils déterminent aussi bien manqué déblocage des oeuvres infrastructurales à l'intérieur du port de Tarente, quoique considérées d'importance stratégique nationale, combien le risque que celui si toutefois potentiel et stratégique driver je développe hypothèque négativement, au cas où non valorisé, les intérêts publics du Pays, de l'Italie du Sud et du territoire ionien en particulier.
Dans la note les représentants des syndicats ont illustré chronologiquement se dérouler des faits, à partir du 2012, concernant l'Accord pour l'exécution des interventions prioritaires, prévus avant 24 mois et joints au reclassement du terminal des conteneurs du port de Tarente (coût 188 dont millions, au-delà de 90 de fonds ses de l'Autorité Portuaire). Entre-temps - ils se sont rappellés - le gouvernement nommait commissaire extraordinaire de l'Autorité Portuaire le président de la même, pour les velocizzazione des oeuvres stratégiques dans le port arrêtent depuis des années. L'Accord inhérent à la réalisation des oeuvres permit, même, de révoquer la procédure de mobilité et contextuellement de poser dans être CIGS (jusqu'au 28 mai 2014 avec possible renouvellement, aujourd'hui, pour un autre an) pour 500 unités par zéro heures et à rotation pour les travailleurs du terminal conteneurs. Suite à la compétition à niveau communautaire pour la confiance des travaux (décembre 2012), un an après finalement étaient adjugées à l'entreprise d'abord classifiée, pendant que la deuxième présentait recouru au Tribunal Administratif Régional pour les Pouilles Lecce (janvier 2014). Après une première sospensiva de l'ordonnance de TAR - ils se sont rappellés encore des syndicats - le Conseil d'État l'a successivement confirmé (le 20 mai passé) en soutenant de vouloir approfondir les actes, en garantissant une décision de mérite en temps brefs paradoxalement, cependant, fixés pour le 28 prochain octobre.
En manifestant « découragement et incrédulité », les représentants de Cgil, Cisl et Uil ont mis en évidence et dénoncé, à front de telles prolixités, « de peu de considération du même Conseil pour l'urgence de réaliser des oeuvres d'importance stratégique nationale, même prévues de la loi sur les bonifications de Jusqu', comme à des pures pour le risque que les terminalisti (Evergreen - Tarente Conteneur Terminal) puissent abandonner définitivement Tarente à cause de dictons tardes. Et, en outre - ils ont remarqué les syndicalistes - peu de considération pour la crise associé économique, ambiant et occupationnel de tout le territoire tarantino, pour le risque qui courent 540 travailleurs employés de la société terminalista et de tout poussé (au-delà de 2.000) et pour la cronoprogramma des travaux, partagé avec des opérateurs privés mais du fait complètement sauté ».
Cgil, Cisl, Uil, Filt Cgil, Fit Cisl et Uiltrasporti de Tarente ont conclu en demandant aux sujets institutionnels une intervention influente pour qu'elle soit anticipée l'audience publique du Conseil d'État, ainsi qu'on procède à l'adjudication définitive de l'adjudication et au départ des travaux, même pour conjurer s'aiguiser de tensions sociales dans un territoire déjà marqué - ils se sont rappellés - de l'émergence Ilva.
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