- L'Autorité Nationale Anticorruzione (ANAC) a établi qu'il subsiste une situation d'incompatibilité parmi la tâche de secrétaire général de l'Autorité Portuaire de Livourne et celui d'administrateur délégué du Port de Livourne 2000, société participée du même organisme portuaire pour le 78% du capital social et au contempo titrer de trois concessions à travers lesquelles il gère le trafic des passagers dans le port labronico. À Massimo Provinciali, nombre deux de l'Autorité Portuaire, en effet avait été conféré dans temporaire même la tâche de président et d'administrateur délégué du Port de Livourne 2000. La délibération de ANAC, déposée le 30 septembre passé, met en évidence que l'Autorité Portuaire exerce des pouvoirs de régulation et contrôle sur l'entreprise qui gère le trafic passagers.
- La subsistance de situations d'incompatibilité/inconferibilità à aux sens de l'art. 9, de l'alinéa 1, du décret législatif n. 39/2913 avait été signalée à ANAC à moitié de l'an passé de la Commune de Livourne. Autorité Anticorruzione a rappellé que pas de tel décret établit que « des tâches administratifs de sommet et tâches de la direction, de toute façon dénommés, dans administrations publiques, qui comportent des pouvoirs de vigilance ou du contrôle sur les activités déroulées des organismes de droit privé réglés ou financiés de l'administration qui confère la tâche, sont incompatible avec l'engagement et le maintien, dans le cours de la tâche, de tâches et de charges en organismes de droit privé réglés ou financiés de l'administration ou d'organisme public qui confère la tâche ».
- Un an il y à l'Autorité Portuaire avait envoyé à ANAC quelques considérations à l'appui la légitimité de la nomination de Provinciaux au sommet du Port de Livourne 2000 ainsi que de quelques tâches assignées dans le domaine du conseil d'administration de ALP - Agence pour le Travail en Port, objet même elles de signalisation de la part de la Commune. L'organisme portuaire avait mis en évidence qu'il s'agit de tâches extraordinaires, temporaires et à titre gratuit qu'ils s'encadrent dans le domaine d'une politique, vastement publicisée et conclue à je relance des deux sociétés, vraiment au moyen de l'achat du contrôle de la part de l'Autorité Portuaire, qui poursuivra seulement jusqu'à l'assainissement et à la suivante privatisation.
- L'Autorité Portuaire même avait souligné que telles opérations étaient vous avez été avalisées du Ministère des Infrastructures et des Transports. En outre l'organisme avait précisé que pour le Port de Livourne 2000 on était déjà procédé à entamer la compétition pour la cession des parts de l'organisme portuaire et que, par conséquent, la tâche attribuée à des Provinciaux quel administrateur délégué de la société devrait cesser dans la fin du 2016. L'autorité portuaire avait spécifié aussi que le secrétaire général, aussi en soignant l'instruction des actes de compétence du président et du Comité Portuaire, il n'est pas titrer de la fonction de vigilance et contrôle, qui est par contre reconnu au président de l'Autorité Portuaire.
- Dans la délibération ANAC a expliqué que « les sujets soutenus de l'Autorité Portuaire ne semblent pas partageables. En effet - il a éclairci l'Autorité - en second lieu l'art. 1 alinéa 2 lett. d), pour des organismes de droit privé réglés ou financiés on entend « les sociétés et les autres organismes de droit privé, même tu prives de personnalité juridique, dans les comparaisons dont l'administration qui confère la tâche « déroule des fonctions de régulation de l'activité principale qui comporte, même à travers le relâchement d'autorisations ou de concessions, l'exercise continué de pouvoirs de vigilance, de contrôle ou de certification ». Puisque concessionaire de domaine maritime et de chargé de la gestion de la station maritime et des services des passagers, aux fins du décret législatif n. 39/2013 - il a remarqué l'Autorité Nationale Anticorruzione - la société Tendu de Livourne 2000 s.à.r.l.s rentre pleinement dans déjà rappelée définition d'organisme réglé et financié (de l'Autorité Portuaire de Livourne). En outre, aux sens de l'art. 1 alinéa 2 lett. et) pour des tâches et des charges en organismes de droit privé réglés ou financiés, on entend « les charges de président avec des délégations gestionnaires directes, l'administrateur délégué, les positions de dirigeant, la déroulement stable d'activité de consultation en faveur de l'organisme » ».
- « Enfin - il a poursuivi ANAC - on a remarqué qu'aux sens du l. n. 8 du 28 janvier 1994 se rendent « Réarrange de la législation en matière portuaire » et ss.mm., le secrétaire général de l'Autorité Portuaire recouvre un rôle de sommet - au-delà de que de la structure administrative même de cette technicien-opérationnelle, en ayant la tâche de soigner l'instruction des actes de compétence du président et du comité de gestion (art. 10 alinéa 4). Par conséquent, en n'étant pas aussi n n'étant pas titrer d'un autonome pouvoir décisoir, le même est, de toute façon, compartecipe de l'action de vigilance et de contrôle, puisque chargé de remplir toutes les instructions prodromiche à l'adoption des mesures du président et du Comité, incluses celles-là concernant la société dont il est administrateur délégué ».
- ANAC a observé entre autre que « il s'agit d'une situation d'évident conflit d'intérêt, qui pourrait se répercuter sur l'impartialité de l'exercise de dicte de l'activité de la part de l'Autorité Portuaire, en particulier lorsque est appelée à évaluer vraiment les actes du concessionaire Port de Livourne 2000 ».
- La délibération ANAC conclut en spécifiant que « Responsable de la Prévention de la Corruption de l'Autorité Portuaire de Livourne, pris acte de remarquée situation d'incompatibilité, il somme, sans retard, intéressé à opter parmi les deux charges incompatibles avant les 15 jours suivants à sa communication ; là où l'option ne soit pas effectuée avant le terme péremptoire de quinze jours, aux sens de l'art. 19 du décret législatif n. 39/2013, le rpc déclare la décadence de la tâche d'administrateur délégué du Port de Livourne 2000 s.à.r.l.s et de la résolution du relatif contrat ; le rpc doit, en outre, procéder à vérifie de l'existence des déclarations dont à l'art. 20 du décret législatif n. 39 du 2013 ou bien à la vérification de la fausseté de la même, aux fins de l'application des sanctions prévues du même article ; de donner de communication du présent le rpc de l'Autorité Portuaire de Livourne, au Ministère des Infrastructures et des Transports et à de l'intéressé ».
- En prenant acte de la délibération, l'Autorité Portuaire de Livourne s'est rappellée de que l'organisme, aussi en se rendant compte qu'en ligne théorique les deux charges ont des points problématiques, a cherché d'expliquer à ANAC qu'on traite « d'une tâche temporaire (jusqu'à fine compétition), extraordinaire (conclue « à stériliser » la gestion avec des charges institutionnelles ; dans CDA - il a précisé l'autorité portuaire - il est présent même le secrétaire général de l'autre associé, Chambre de commerce) ; gratuit ; attribué en plein jour et en totale transparence, en ayant impliqué Comité Portuaire, Collège des réviseurs et Ministère des Infrastructures et des Transports ; ayant comme échéance la première assemblée des associés suivante à la cession des parts publiques ».
- « En somme - il a poursuivi l'Autorité Portuaire - nous invitions ANAC à ne pas appliquer les principes du décret législatif 8 avril 2013, n.39, en manière littérale et automatique, mais en tenant compte de la situation concrète. Situation concrète qui n'y a pas comporté quelque conséquence illicite (pas ont été des nominations, engagements consultations, frais fous, etc), mais que, vice versa, avec le concouru de tout personnel du Port de Livourne 2000 et le soutien de la chambre de commerce et de la Région, a rapporté dans le port de Livourne des nombres importants quant à des passagers et à des bateaux, ainsi que dans l'arrivée ou le retour de primaires compagnies de navigation, à partir MSC et de Royal Caribbean ou Grimaldi, pour ne pas parler de l'attention d'opérateurs de niveau mondial sur la compétition pour la cession d'une partie des parts publiques de la société ».
- L'Autorité Portuaire a annoncé que, « aussi en donnant couru à l'avertissement, il empoignera la détermination de ANAC aussi bien pour ne pas défendre une position individuelle, destinée de toute façon à laisser le pas à la fin de la compétition en cours, combien pour établir le principe qui appliquer les règles comme s'elles étaient des formules mathématiques porte à renier la substance de l'état de droit dans laquelle sur il ne peut jamais perdre de vue le fattispecie concrétise ». « Aux impugnazione - il a spécifié l'organisme - verosimilmente uniranno autres Autorités Portuaires dans lesquelles ils subsistent des situations analogues, tranquillement gérées et veillées parce qu'évidemment situées en territoires dans lesquels il y a majeure sensibilité vers le bien commun ».
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