Le syndicat international des travailleurs du transport ITF a exhorté les armateurs et les gestionnaires de navires à ne pas débarquer des marins de nationalité ukrainienne sur des unités navales dirigées vers les ports russes. Rappelant qu'après le déclenchement de la guerre en Ukraine, l'ITF et le Groupe de négociation mixte (GNG), l'organe représentant les armateurs, les gestionnaires de navires et les agents maritimes dans la confrontation avec le syndicat, ont désigné les zones de la mer Noire et de la mer d'Azov Les zones à risque de guerre, Les travailleurs des transports internationaux La Fédération a expliqué qu'il existe à présent un danger supplémentaire pour les marins ukrainiens qui se lancent dans des navires entrant dans les eaux territoriales ou dans les ports russes, en dépit de ces zones Identifié comme étant à risque de guerre.
Le syndicat a précisé qu'il avait demandé à la JNG de décourager les compagnies associées à l'envoi de marins ukrainiens dans les ports russes et, en tout état de cause, d'informer tous les marins ukrainiens si l'entrée de leur navire dans les eaux était prévue Territoriale ou dans les ports russes, en leur reconnaissant le droit de refuser de débarquer, avec rapatriement aux frais de l'entreprise et, dans certaines circonstances, en leur reconnaissant un maximum de deux mois " Salaire de base.
À la suite de cette invitation, et en application des dispositions internationales identifiées par le Forum international de négociation, ITF et JNG ont convenu que lorsqu'un navire se dirigeait vers les ports ou les eaux territoriales russes, un port ukrainien aura le droit de demander le rapatriement aux frais de la compagnie maritime et recevra le paiement du salaire de base Pendant le rapatriement et toute vitto et logement nécessaires jusqu'à votre retour à la maison ou jusqu'à ce que vous parveniez au lieu de l'enrôlement original. De plus, la compagnie devra déployer tous les efforts nécessaires pour déplacer le port de mer rapatrié dans les 30 jours suivant la date à laquelle le port de mer est retourné à la maison ou a atteint le port d'enrôlement initial, continuant de travailler selon les modalités. Les conditions du contrat initial ou d'un nouveau contrat. Si le port de mer ne doit pas être réembauché dans les 30 jours suivant la date à laquelle il retourne à la maison ou atteint le port d'embarquement initial, la compagnie devra verser une indemnité au port de mer qui sera égale à deux mois de salaire de base s'il n'y a pas au moins Deux mois à l'expiration du contrat d'engagement, alors que si moins de deux mois sont manquants à la fin du contrat, les frais seront proportionnels au niveau du salaire de base.