- La sixième Section du Conseil d'État, avec ordonnance déposée hier que nous publions de suite, a accueilli l'instance de précaution présentée de Compagnie des Îles (CDI) pour la réforme de la sentence du Tribunal Administratif Régional pour le Latium avec lequel le mois passé avait été accueilli le recours présenté de Société Navigation Sicilienne contre l'adjudication de la compagnie de navigation Siremar à la Compagnie des Îles ( des 11 juin 2012) et donc il a suspendu l'efficacité de la sentence.
- Le Conseil d'État a retenu que la « controgaranzia » du 12 octobre 2011 de la Région Sicile adressée à Unicredit « n'apparaît pas, à l'état, être étée apte à fausser les règles de discipline de la procédure concorsuale ».
- Compagnie des Îles, société présidée de l'armateur Salvatore Lauro, a souligné que l'ordonnance redonne « plein valeur au contrat de cession stipulé jusqu'à de octobre de l'an passé » et que « ils ne subsistent pas maintenant autres empêchements à la souscription de la « Convention » avec les ministères des Transports et de l'Économie pour le nécessaire soutien à l'entreprise, condition contractuellement prévue pour la matérielle confiance du Siremar à la Compagnie ».
- Compagnie des Îles s'est rappellée son engagement d'un entier maintien et d'amélioration des lignes maritimes gérées du Siremar, ainsi que des moyens navals et de la conservation de tous les employés actuellement en force.
- RÉPUBLIQUE ITALIENNE
- Le Conseil d'État
- en siège juridictionnel (Section Sixième)
- il a prononcé le présent
- ORDONNANCE
- sur le recours nombre de registre général 4806 du 2012, proposé de :
- Compagnie des Îles S.P.A., en personne du légal représentant, représentée et défendue des avocats Fabio Cintioli, Giuseppe Gitto, Mario Santaroni, Massimiliano Mangano et Giorgio Fraccastoro, avec je domicilie élu prés du premier en Rome, Salarie, 259 ;
- contre
- Société Navigation Sicilienne S.P.A., en personne du légal représentant, représentée et défendue des avocats Angelo Clarizia, Federico Tedeschini, Andrea Abbamonte, avec je domicilie élu prés du premier en Rome, Prince Clotilde, 2 ;
- Ministère de Sviluppo Économique, en personne du Ministre pro tempore, représenté et défendu de la Profession d'avocat générale de l'État, domiciliée pour loi en Rome, des Portugais, de 12 ;
- Siremar - Sicile Régionale Maritime S.P.A., en personne du légal représentant, représentée et défendue des avocats Aristide Police, Marco Annoni et Giulio Angeloni, avec je domicilie élu prés du premier en Rome, de Villa Sacchetti, 11 ;
- vis-à-vis de
- Méditerranéenne Holding S.P.A., Commissaire Straordinario du Siremar S.P.A., Comité de Surveillance du Siremar S.P.A. en a.s., Région Sicile, Assessorat Économie de la Région Sicilienne, Unicredit S.P.A. ;
- pour la réforme
- combien à tous les deux les recours n. 4806 et n. 4809 du 2012 :
- de la sentence du Tribunal administratif régional pour le Latium, la Section Troisième -troisième-ter, 7 juin 2012, n. 5172.
- Vus pourvu en appel et les relatifs annexes ;
- vu l'art. 98 cod. proc. amm. ;
- vus les actes de constitution ;
- vues les mémoires défensives ;
- visas tous les actes de la cause ;
- vue la question de suspension de l'efficacité de la sentence du Tribunal administratif régional d'acceptation du recours de premier degré, présentée dans incident de la partie appelante ;
- rapporteur dans la chambre de conseil du jour 17 Juillet 2012 Cons. Vincenzo Lopilato et ouïes pour les parties les avocats Mangano, Santaroni, Fraccastoro, Cintioli, Gitto, Abbamonte, Clarizia, Tedeschini, Police, Annoni, Angeloni, Vaincus et l'avocat de l'État De Bonis Fidèles.
- Considéré, à je hésite d'une sommaire delibazione sa de la phase de précaution, qui la « controgaranzia » du 12 octobre 2011 de la Région Sicile adressée à Unicredit – en raison de la nature juridique de la déclaration rendue, de son efficacité, de manque d'un rapport d'importance extérieure avec la prestation de garantie, de pair donnés, d'Unicredit, ainsi que des actes suivants de il révoque de prédite « controgaranzia » – n'apparaît pas, à l'état, être étée apte à fausser les règles de discipline de la procédure concorsuale ;
- que, en outre, eu en ce qui concerne les intérêts dans l'ensemble impliqués de l'événement à l'étude, de l'exécution de la sentence il pourrait dériver un grave préjugé même en considération de la rénovation de la procédure à l'étude.
- P.Q.M.
- Le Conseil d'État, en siège juridictionnel, Section Sixième, réunis les appels indiquées en épigraphe, accueille l'instance de précaution et, pour l'effet, il suspend l'efficacité de la sentence empoignée.
- Les frais de procès de la présent phase de précaution sont compensées.
- L'présent ordonnance sera exécutée de l'Administration et est déposée prés du secrétariat de la Section que provvederà à en donner à communication les parties.
- Ainsi décidé en Rome dans la chambre de conseil du jour 17 Juillet 2012 avec l'intervention des magistrats :
- Carmine Volpe, Président
- Maurizio Meschino, Conseiller
- Roberta Vigotti, Conseiller
- Andrea Pannone, Conseiller
- Vincenzo Lopilato, Conseiller, Extenseur
- DÉPOSÉE EN SECRÉTARIAT
- Le 18/07/2012
- LE SECRÉTAIRE
- (Art. 89, Co. 3, cod. proc. amm.)
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