Unioncamere, le nouveau Doucement national pour je développe d'aéroport met à risque 15 escales au service des territoires
Dardanello : il est nécessaire tendre compte pas seulement des résultats de budget, mais même des bénéfices pour le territoire
18 April 2013
Selon Unioncamere, l'Acte d'adresse émanée le janvier passé du ministère de Sviluppo économique et des Infrastructures pour la définition du nouvelle Doucement national pour je développe d'aéroport (du 29 janvier 2013) il peut causer une sévère contraction de l'activité d'aéroporte et pose à risque 15 aéroports au service des territoires.
Dans le cours de la rencontre svoltosi aujourd'hui à Rome, organisée d'Unioncamere et de la revue « Chef Horn » avec le support d'Uniontrasporti, été est mise en évidence comme l'entier secteur de l'aviation (en considérant des compagnies aériennes, des aéroports, se débrouille aéronautique et fournisseurs de services) donne un apport à produit interne brut italien de 15 milliardes d'euro, en offrant travail 500mil à des personnes et en mouvementant un trafic de 149 millions de passagers. Selon Unioncamere, à faire les frais d'une réorganisation du système des aéroports italiens ils pourraient être 15 des 46 aéroports ouverts aux vols commerciaux, définis de l'Acte d'adresse « pas d'intérêt national ». « Si le choix de ces sites « mineurs » sera confirmé en séance de Conférence des région-Régions - il a remarqué Unioncamere - elles seront destiné aux Régions et pour ces réalités on ouvrira deux scènarios différents : la possibilité d'actionner avec une concession régionale ou bien d'être adressé à autres destinations ou à la fermeture. En pratique, ils devront la lui arracher tous seuls et les collectivités locales et les Chambres de commerce qui sont des associés en devront décider si les recapitaliser, ripianando les pertes d'exercise cumulez, à front d'un plan de réorganisation et relance, en céder la partecipation à des privés, ou bien les fermer, avec toutes les implications du cas ».
Unioncamere s'est rappellées que des 15 aéroports qui l'Acte du ministère identifient comme « d'intérêt national » ils ne sont pas en ordre géographique ceux-là de Cuneo, Aoste, Brescia, Bolzano, Albenga, Forlì, Parme, Grosseto, Marine de Champ (Elbe), Perugia, Forment, Tarente, Crotone, Comiso et Tortoli. Dans leur complexe, dans les 2012 ces aéroports ils ont enregistré un trafic passagers 1.106.230 de personnes, dans le 40,5% des cas avec des vols nationaux, dans le 59,5% avec des traites internationales. Le 73,1% de ces passagers a utilisé, en telles structures, vols low cost. Il cote restant a intéressé par contre des vols de type traditionnel.
Pour Unioncamere, la réduction de ces réalités soi-disantes mineures pourrait avoir un sensible contrecoup sur les entreprises du secteur et sur les citoyens, mais même sur les territoires chez eux servis. « Estime en effet - il a expliqué l'Union italienne des Chambres de commerce - qui si en Italie manquaient les vols de ligne des aéroports mineurs, au-delà 500mil de personnes subiraient un allongement des temps de voyage supérieur aux 60 minutes, avec une charge moyenne de 100 minutes pour individuel voyage de seule allée et une estime du coût global du majeur temps employé (prudenzialmente évalué en 10 euro maintenant) évaluables dans environ 52 millions d'euro, en considérant les aéroports avec trafic jusqu'deux à millions de passagers annuels. Ce scènario tu verrais pénalisées des aires déjà aujourd'hui désavantagées quant à des liaisons et des infrastructures et mettrait à zéro les efforts faits dans le cours davantage des décennies avec des ressources même considérables et investissements de par sa nature il soit publique que privé, pour offrir à ces territoires opportunité de développer et qualifier les flux économique-productifs, en innovant et en élargissant le réseau des modèles relationnels. On irait inévitablement à un déplacement de richesse de ces aires, de dynamiques et economiquement beaucoup vives, mais certes généralement moins développées et parfois marginales, vers les ces plus riches et congestionnées, pas seulement avec une perte de dédiés directement ou indirectement impliqués dans l'économie d'aéroporte (moyennement 400-500 pr3posés pour million de passagers), mais même avec une perte presque certaine de la dépense touristique engendrée des flux touristiques inbound que dans ces ans, des merci même à l'explosion du low cost, engendre des intéressants procès de croissance et redistribuzione des présences touristiques par rapport aux historiques traditionnelles destinations ».
« Nous ne voulons pas certes affirmer l'inutilité d'une réorganisation globale du système », a éclairci le président d'Unioncamere, de Ferruccio Dardanello. « Beaucoup de sociétés de gestion des aéroports - il a expliqué - enregistrent résultés d'exercise même fortement négatifs, en même temps à déséquilibré rapport entre des coûts et des produits pour passager qui ne peuvent pas certes être ignorés. Mais pour n'importe quel action de réorganisation - il a remarqué Dardanello - ils sont nécessaires politiques d'accompagnement pour déterminer des solutions alternatives et/ou de rimodulazione du cadre des coûts, et des politiques de système, qui ne tiennent pas compte exclusivement des résultats de budget, mais même des bénéfices pour le territoire. La même logique européenne - aussi en soulignant que les comportements des actionnaires publiques doivent être caractérisés au principe de l'investisseur privé dans une économie de marché - semble offrir la possibilité, dans quelques cas particuliers et circonscrits, de construire des politiques de soutien aux aéroports et aux compagnies aériennes ».
« La rencontre d'aujourd'hui - il a dit le président d'Uniontrasporti, Antonio Paoletti - représente le départ d'une indispensable réflexion de l'entier système camerale sur la situation de la réalité d'aéroporte italienne, avec détail attention aux aéroports mineurs - après l'adoption de l'Acte d'adresse pour la définition du Plan national des aéroports - qui puisse porter à l'adoption d'une stratégie partagée. Les Chambres de commerce sont fortement engagées dans les infrastructures d'aéroportes (35 des 46 aéroports commerciaux considérés du Plan sont gérées de sociétés participées des Chambres) et les drastiques prévisions du Plan impatteranno sur des territoires, tu ranges des productifs locaux et des organismes camerali ».
Unioncamere s'est rappellées en outre de que des 46 aéroports commerciaux rentrants dans le Plan national des aéroports (dont 35 gérés justement de sociétés participées de Chambres de commerce), parmi les dix faisant une partie du core network, considérés d'importance stratégique à niveau EU, les Chambres sont présents dans es, avec un investissement global de 48 millions d'euro. En outre 15 des 19 aéroports de la comprehensive network (qui ont un trafic supérieur au million de passagers annuels, ou bien qu'ils ont un trafic supérieur au 500mil et soient en possession d'ultérieurs details caractéristiques, la quelle l'unicité dans le domaine régional ou le service à un territoire caractérisé d'insuffisante accessibilité, ou bien soient indispensables à assurer continuité territoriale) voient la présence au moins une Chambre de commerce avec une partecipation globale de 49.5 millions d'euro. Enfin les organismes camerali participent même aux sociétés de deux aéroports rentrant dans la catégorie « autres aéroports » (Rimini, avec une tendance de trafic en forte croissance, et Salerno, employé pour delocalizzare le trafic de Naples) avec 2.1 million d'euro investis. Parmi les restant 15 escales, 12 ont les Chambres de commerce dans l'équipe sociale pour une valeur globale de 10.9 millions d'euro. L'investissement final de 55 organismes camerali se monte donc presque à 110 millions d'euro, pair au 15% du capital dans l'ensemble investi.
Unioncamere a précisé que « la raison pour laquelle le système camerale affronte craint de la réorganisation d'aéroporte, toutefois, n'est pas seulement liées à la présence de participations dans les sociétés de gestion. En effet, les investissements des Chambres dans les infrastructures, pas seulement de transport mais même de promotion de l'économie, toujours étées sont faits en regardant pas à une logique de rentabilité de l'individuel investissement, mais aux effets globaux pour le territoire. Le réseau camerale, donc, est conscient du relief de craint sur le plan de développe local et des opportunités qu'on viendrait à perdre pour le territoire, pour ses entreprises, pour communautés de référence ».
Unioncamere a conclu en spécifiant que le système camerale retient par conséquent que « il serait utile imaginer une réorganisation du secteur dirigé de créer une stratégie d'aéroporte nationale qui réussisse : à relier le Plan à une politique européenne surtout pour l'aeroportualità plus jeune (toujours absent mais sûrement nécessaire, vu qu'en Europe le 67% des aéroports avec trafic de ligne gère des volumes inférieurs par million de passagers an et la structure propriétaire est en grande partie publique) ; tu reconsidères le système des coûts, en abattant des rigidité aujourd'hui pas plus justifiables, des services d'aéroports garantis de l'État, en tenant compte des différentes dimensions et necessité des escales ; qu'il permette aux sociétés d'aéroportes d'actionner dans un régime de certitudes normatives et autorizzatorie, au moins de moyenne période, pour permettre plans d'investissement et je développe de le long de terme ; tu évalues avec des critères objectifs l'existence ou moins qu'un impact positif de l'infrastructure d'aéroporte sur le territoire dont il est au service, pas seulement relativement aux liaisons pour le transport de passagers et de marchandises, mais en particulier pour le revenu qui vous engendre et la contribution qui apporte à la croissance du produit brute territorial ».
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