- La Commission européenne a publié aujourd’hui un appel à candidatures contributions sur l’efficacité du cadre juridique de l’UE - le Règlement no 246/2009 exemption par catégorie pour les consortiums (CBER) - exemptant les consortiums de transport maritime de ligne de Règles de l’UE en matière d’ententes et d’abus de position CBER permet aux entreprises de la navigation avec une part de marché cumulée inférieure à 30 % de conclure, sous certaines conditions, des accords de coopération (consortiums) pour fournir des services communs de transport de marchandises. Vrai est que cette invitation est diffusée périodiquement en vue de l' la date limite de règlement est fixée au 25 avril 2024 (
sur 24 Mars 2020). Aujourd’hui, cependant, la Commission a fait un étape supplémentaire en envoyant aux parties prenantes de l’approvisionnement chaîne de transport maritime de ligne (transporteurs maritimes, expéditeurs) et les transitaires, les opérateurs portuaires et les exploitants de terminaux) questionnaires ciblé sur l’impact des consortiums de compagnies maritimes de ligne, ainsi que du règlement CBER, sur leurs activités de 2020 à aujourd’hui. Il est tout à fait clair que cette étape peut être considéré comme hésitant, sinon non pertinent par les associations de l' chargeurs, puisqu’ils ont prié à plusieurs reprises jusqu’à hier la Commission européenne d’ouvrir une enquête sur ce marché et sur les règles qui le régissent (
sur 22 Juillet 2022).
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- Bruxelles a indiqué que les parties intéressées ont huit semaines de temps, jusqu’au 3 octobre prochain, pour présenter Remarques. CLECAT, FEPORT, Conseil européen des chargeurs, Européen Barge Union, Forum mondial des expéditeurs, Association européenne des remorqueurs, UIRR, FIATA, Association internationale des déménageurs, FIDI Global Alliance et autres associations d’opérateurs du secteur logistic-port n’aura rien d’autre à faire que collecter dans un le seul dossier, s’il peut les contenir, les plaintes qui au cours des derniers mois et des dernières années, ils se sont adressés à la Commission européenne et l’envoyer à Bruxelles avant cette date.
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- Avec cette mesure, la Commission semble demander aux chargeurs la « preuve » des conséquences négatives sur leur les activités causées par le règlement. Preuve que précisément un an et il y a une demi-moitié, les dirigeants de la Commission européenne avaient invité le expéditeurs à collecter puis à entamer une action en justice réputée il est essentiel de procéder à l’ouverture d’une enquête à ce sujet marché.
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- Toutefois, la consultation des intervenants appuiera comme précédemment, la Commission européenne décide si le Le règlement CBER devrait ou ne devrait pas être prorogé et, dans l’affirmative, (comme il l’avait décidé en 2014 et 2020), avec ou sans modifications. Le La Commission a annoncé qu’elle présenterait un résumé de la les résultats de l’évaluation d’ici la fin de l’année.
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