- Par an du départ d'une particulière enquête sur les exemptions fiscales concédées aux organismes et aux sociétés qui gèrent les ports de la France et de la Belgique ( des 8 Juillet 2016), aujourd'hui la Commission Européenne a renouvelé la demande aux gouvernements des deux nations d'abolir ces exemptions de l'impôt sur les sociétés pour aligner les deux ranges des fiscal nationaux des règles EU en matière d'aides Été, exhortation qui au début du 2016 avait été tournée même à la Hollande, qui à son tour avait annoncé la présentation d'un recours contre la décision de Bruxelles ( du 22 janvier et de 18 Mars 2016).
- En se rappellant de que récemment la Commission Européenne a introduit des nouvelles règles pour les investissements publics dans les ports et dans les aéroports ( du 17 mai 2017), en simplifiant les procédures et entretemps en préservant la concurrence, Margrethe Vestager, commissaire européen à la Concurrence, il a mis en évidence qu'entretemps « les décisions de la Commission relativement à la Belgique et à la France, ainsi comme celle précédente relative à la Hollande, montrent clairement que les exemptions injustifiées de l'impôt sur les sociétés pour les ports distordent la concurrence ».
- La Commission s'est rappellée de qu'en Belgique tels des exemptions sont appliquées pour les ports maritimes et fluviaux d'Anvers, de Bruges, de Bruxelles, de Charleroi, de Ghent, de Liegi, de Namur et d'Ostenda et pour les canaux navigables de la province de Hainaut et des Fiandre, pendant qu'en France ils sont en vigueur en faveur des ports de Bordeaux, de Dunkerque, de La Rochelle, les Havre, Marsiglia, nantes-Saint-Nazaire et Rouen, pour les escales portuaires de Guadeloupe, de Guyane, de Martinique et de Réunion, pour le système portuaire de Paris et pour les ports gérés des chambres de commerce et de l'industrie.
- Belgique et France ont le temps jusqu'à la fin du 2017 pour à adopter aux mesures nécessaires pour terminer des tels régimes d'exemptions fiscal et pour garantir que du 1° janvier 2018 tous les ports soient sujets aux mêmes règles fiscales appliquées aux autres entreprises.
- La Commission Européenne a spécifié que, vu que l'exemption de l'impôt sur les sociétés en faveur des ports existait déjà avant l'adhésion de la France et de la Belgique à l'EU, les telles mesures ils sont de considérer de quelles « aides existantes » et puisque tels il n'est pas possible demander à Belgique et France de récupérer les aides déjà concédés.
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