la Commission Européenne a approuvé les modifications à un programme de soutien aux investissements en bateaux moins polluants en vigueur en Finlande qui prévoient des incitations aux armateurs pour l'utilisation de bateaux qui respectent les nouveaux standards sur la teneur de soufre des combustiblex pour emploie maritime qu'ils ont été fixés de l'Union Européenne avec la directive n. 33 du 21 novembre 2012 et qu'ils entreront en vigueur le 1° janvier 2015 dans les aires SECA (Sulphur Emission Control Areas), parmi lesquelles la Manche, la Mer du Nord et le Mar Balte
( des 11
septembre 2012).
« le programme finlandais - il a souligné le vice-président de la Commission EU et le commissaire à la Concurrence, Joaquín Almunia - montre comme les actuelles réglementations sur les aides de l'État puissent être utilisé pour encourager l'industrie maritime à adopter des règles sur l'ambient plus sévère encore avant leur entrée en vigueur ».les modifications au programme finlandais, qui aura effet jusqu'à au 31 décembre 2014, prévoient entre autre des aides pour financier l'aquisition de nouveaux bateaux ou pour moderniser des vieux bateaux de sorte que ils respectent les standards prochains EU sur la teneur de soufre dans le fouel.le pronunciamento de Bruxelles pourrait se traduire dans une bouchée d'oxigène pour l'entreprise navalmeccanica STX Finland du groupe STX Europes qui doit trouver des vendeuses pour ses chantiers navals de Turku et Rauma mis en genou de la récente perte de l'ordre pour la construction d'un troisième bateau de croisière de classe « Oasis » qui la compagnie américaine Royal Caribbean Cruises a assigné à STX France Cruise, la division du groupe STX Europes qui est participé de l'État français(du 28 décembre 2012). La perte de la vendeuse a amorcé une polémique sur les financements auxquels il a accédé STX France, qui est participé de l'État français à travers cote du 33,3% du capital détenue de Fonds Stratégique d'Investissement (FSI) (le restant 66,6% est dans les mains de STX Europes), pendant que la demande de STX Finland d'avoir un financement de 50 millions d'euro pour financier la construction du bateau et s'assurer la vendeuse n'a pas été satisfaite du gouvernement de Helsinki. La mesure décidée de l'exécutif finlandais pour soutenir le secteur a été par contre l'allocation de 28.3 million d'euro quelles aides à l'innovation en champ naval. Actuellement STX Finland construit un bateau de croisière pour TUI Cruises, joint les chances entre allemande TUI et le Royal Caribbean Cruises, auquel il suivra un second bateau pour la même compagnie ordonnée à la fin de l'an passé( du 27 septembre 2011 et 5 novembre 2012). La première construction pour TUI Cruises se sert d'une aide publie du finlandais à l'innovation pour 16 millions d'euro, chiffre qu'il élève aux 44 million d'euro aides à l'innovation allouées dans l'ensemble du gouvernement de Helsinki.Pour trouver des solutions à la crise de la de la construction navale navale nationale, les derniers jours le gouvernement finlandais a constitué un groupe de travail présidé de l'ex président et un administrateur délégué du groupe Wärtsilä Corporation, Ole Johansson, qui aura la tâche d'évaluer l'impact à niveau régional et national dans le bref et long terme de la restructuration du secteur navalmeccanico sur l'économie. Le groupe de travail, qui toutefois ne s'occupera pas de la crise de STX Finland, devra formuler des propositions pour développer la compétitivité du secteur dans la moitié de Mars prochain.Entre temps la Commission Européenne a décidé d'entamer une enquête sur les aides publics pour au-delà de 180 millions d'euro concédés parmi le 2006 et le 2012 à Portugal au chantier naval public Estaleiros Navais de Viana do Castelo (ENVC), qu'il est le plus grand établissement navalmeccanico de la nation ibérique, pour vérifier s'ils sont conformes aux règles EU sur les aides de l'État. Bruxelles a averti le Portugal que même les nouvelles mesures prévues pour ENVC dans je conteste de la privatisation de l'entreprise pourraient constituer des aides de l'État et a exhorté le gouvernement de Lisbonne à notifier des telles mesures à la Commission avant leur réalisation.