- Le Juillet passé l'Autorité Portuaire de Gênes a illustré les lignes guide pour le nouveau Doucement Régulateur Portuale qui présentent pas un, mais multiples modèles de je développe du port ( du 4 Juillet 2012). L'autorité portuaire donc a appelé les catégories portuaires et les collectivités locales à une comparaison sur des telles hypothèses au fin de définir qui sera le directeur dont je développe du port indiqué dans PRP il sera subordonné à l'approbation du Comité Portuaire et des institutions.
- À la comparaison il a participé même Assagenti, l'association des agents maritime génoise, que pour répondre aux demandes du Bureau de la planification et je développe de l'Autorité Portuaire a créé une commission ad hoc - composée de Cinthya Cignolini (Euragent), Stefania Morasso (Intermare), Giovanni Cerruti (Gastaldi), Filippo Gallo (Finsea), Giulio Schenone (Medov) et d'Aldo Negri comme représentant du Groupe Jeune - pour étudier à fond les huit scènarios, en déterminer piqués de force et de faiblesse et indiquer la solution meilleure. À conclusion du travail la commission a élaboré un document, a approuvé du conseil d'Assagenti le 22 février passé et donc délivré à l'organisme portuaire, que nous publions de suite.
- Commission Plan Régulateur Portuale, Assagenti
- Le port de demain selon Assagenti
- Scènario « Voltri Isole - Voltri avancement »
- Parmi les scènarios proposés, celui de l'avancement de Voltri semble être le favori, au moins dans le moyen terme. Par rapport à « Voltri il y isole » ne sont pas particuliers différences, si pas la possibilité de tirer un port bateaux de pêche au côté du Port d'Afrique, que, comme catégorie, nous retenons plus de bénéfice pour la citoyenneté, par rapport à la continuité côtière (qui cependant garantissait un meilleur ricircolo de l'eau dans le canal de calme).
- Nous retenons le Port d'Afrique essentielle dans le dessin du nouveau Doucement régulateur portuaire, par conséquent il est indispensable qu'on trouve une aire à affecter à cet effet dans le port futur.
- Toutefois, positionné à Voltri les commistione de trafics entre des passagers et du camionnage dirigé à VTE, il pourrait créer des problèmes d'incompatibilité.
- Par conséquent il serait utile prévoir un raccord séparé qui sert seul le Port d'Afrique.
- L'avancement du quai est souhaitable soit pour avoir des fonds plus hauts soit pour sortir du cône aérien et permettre au terminal d'épargner pour l'achat grue plus coûteux, de l'les bras de laquelle n'entravent pas la phase de décollage et atterrissage des avions.
- Il nous presse souligner que, pour permettre une continuité opérationnelle acceptable pendant les travaux d'agrandissement, serait mieux étudier la possibilité de subdiviser en trois phases l'avancement du quai de VTE.
- En outre, il devrait être approfondi l'accroissement des personnes préposé directes connexe avec le scènario de l'avancement de Voltri, qui résulte manquant dans la documentation fournie. (À telle intention nous signalons une étude qui pourrait être utile : C.Ferrari, O.Merk, A.Bottasso, M.Conti. à Tei Ports and Régional Development : à European Perspective. OECD workshop - The future of port cities. Paris, 14th September 2012).
- Scènario « Sampierdarena Péninsule - Île - Avancement »
- Les solutions qui intéressent Sampierdarena vont idées même dans l'optique d'un déplacement de Porto Pétroles, qui pourraient être laissé inchangés dans le bref terme avec le rétablissement de la monoboa, mais que dans la longue période il aura nécessairement du besoin d'être remplacé pour les problèmes d'incompatibilité qui comporte une proximité ainsi étroite avec l'agglomération de Multedo.
- Nous retenons de devoir exclure le scènario de l'île de Sampierdarena, qui crée un impact considérable pour la délégation, en réduisant de beaucoup la visuelle à mer. En outre, en n'étant pas n n'étant pas l'île mise à la terre avec le chemin de fer, résulte difficile imaginer une exploitation adéquate des aires gagnées pour trafics divergés de ceux liquides.
- De la même manière, la solution de la « péninsule de Sampierdarena » semble impattare excessivement sur la visuelle à mer.
- La solution favorite, par conséquent, résulte l'avancement de Sampierdarena (quoique il ne permette pas de résoudre le problème du cône aérien sur le terminal plus voisins à l'embouchure posante), qu'il prévoit un remplissage à ridosso de la nouvelle oeuvre de protection à mer, de façon à de pouvoir accueillir le trafic pétrolifère, les bunkeraggi et autres vracs liquides. À tel égard nous suggérons une solution qui concentre tous les poles des trafics liquides aujourd'hui existants dans le port de Gênes dans un unique terminal.
- Il nous presse souligner cependant, que de la documentation fournie, il n'est pas suffisamment clair ce qui sera emploie commercial de la nouvelle organisation de Sampiedarena. Elle est en effet crainte de la catégorie qui l'élimination des peignes puisse compromettre la pluralité merceologica des trafics, qui donne toujours caractérise le port de Gênes.
- Une ultérieure réflexion doit être faite sur le déplacement du barrage de Sampierdarena, une oeuvre prioritaire à quelconque intervention dans le port de Gênes, même et surtout, dans l'optique de l'imminent achèvement de Bettolo et de la conséquente difficulté pour les bateaux de parcourir le canal avec le portacontainer mouillées dans le nouveau quai.
- En ce sens, comme catégorie, nous demandons un ultérieur approfondissement sur le tempistiche des oeuvres prévues dans le plan régulateur sont en vigueur, en particulier sur les oeuvres propédeutiques à Descente Bettolo.
- Enfin, il nous presse souligner que, pendant toutes les phases prévues pour l'achèvement du scènario qui viendra choisi, est importante que soit garantie la navigabilité du canal qui permet aux bateaux de rejoindre le terminal plus voisins à l'embouchure poser.
- DES SCÈNARIOS EXCLUS
- Scènario « Tendu Le long de »
- Dans le complexe le Port long permet un mineur engorgement routier dans l'aire génoise et une majeure fruibilità de la mer de la part de la population, à travers la restitution de quelques aires et de leur conversion pour usages urbains (vois bande de respect de Prà et parque de la Lanterne).
- D'autre part l'oeuvre, en prévoyant une capacité globale de 10 millions de teu, doit être contestualizzata dans un scènario plus vaste, ou bien que planification nationale.
- Dans le 2015, en second lieu l'élaboration de APGE sur les données OSC 2011, les prévisions de croissance du trafic portuaire containerizzato italien s'attesteront sur des volumes compris parmi 16 et 21 millions de teu. Le port de Gênes, en maintenant les actuelles parts de marché (19,3%), pourrait donc mouvementer environ 4 millions de teu.
- Il résulte clair, par conséquent, qu'une oeuvre du genre serait sous-exploitée, sur la base de ses réelles capacités. Pour réaliser le scènario du « Port long » il servirait en premier lieu une concentration du trafic containerizzato dans un unique pole, celui génois, qui devrait porter le sien cote de marché au-delà du 62%. À ce sujet question si en Italie une concentration du genre soit politiquement possible et comme nous puisse se concilier avec des projets déjà financiés dans autres ports italiens.
- Une autre criticité qui émerge concerne les coûts de l'oeuvre. Outre 1.200.000.000 des euro nécessaires pour la nouvelle oeuvre de protection dans le bassin de Voltri, doivent être ajoutés les investissements nécessaires pour la Chenille même : 3.671.000.000 euro globaux (29.000.000 euro pour l'aquisition des aires, 179.000.000 euro pour les charges progettuali, 2.373.000.000 pour la construction de l'oeuvre, de 1.090.000.000 pour l'équiper pour l'entretien). La perplexité donc concerne la sostenibilità de l'oeuvre, même à front de l'investissement nécessaire pour l'intervention, prévu de tous et les huit les scènarios, pour l'embouchure de levant, estimé en environ 780.000.000 euro.
- À tel égard, même en passé, elles ont été soulevées des réserves, en appelant en cause l'Union Européenne, qui pourrait viser le doigt sur la différence de coût de l'oeuvre et « fee » payé du concessionnaire, en le considérant comme aide de l'État.
- Une ultérieure réflexion doit être faite sur la complementarità de la Chenille avec le Troisième Franchissement ferroviaire.
- En considérant que la plupart de la marchandise transportée avec la Chenille aurait une destination finale loine de l'aire alexandrine, ils serviraient des ultérieures liaisons infrastructurales (pour une aire, pour autre, déjà servie de le Troisième Franchissement), en engendrant la crainte d'une diversification des financements prévus.
- Scènario « Aéroport à mer »
- Sur le scènario de l'aéroport à mer, il y a de faire d'une juste précédente. Nous nous trouvons aujourd'hui dans une ville dans évident baisse démographique. Gênes a perdu presque 25mil des habitants en 10 ans (en second lieu les données du recensement Istat) et les perspectives ne remarquent pas une reprise dans le moyen terme.
- Par conséquent, elle se retient peu désirable l'idée du déplacement et de la remaniement de l'aéroport génois à mer, qui n'aurait pas la possibilité d'agrandir son bassin d'usage, considérée même la proximité d'autres escales quelle Pise, Malpensa, Bergame et Nice.
- Également, les temps (20 ans) et les coûts de réalisation, estimés environ à 4 milliardes d'euro, ne semblent pas adaptés à soutenir une oeuvre pas prioritaire pour la ville.
- Scènario « Aéroport au-delà d'Appennino » le scènario de l'aéroport au-delà d'Appennino permettrait l'élimination définitive du problème du cône aérien dans notre port, avec les conséquentes limites à l'opérativité établis.
- Toutefois, la création d'un nouveau hub est une stratégie logistique qui devrait être discutée et étudiée « plus à de mains ». Ou bien entre Région Lombardie, Région Piémont et Regione Ligurie, sous la coordination d'une mise en scene nationale.
- Il est avis de notre catégorie, en effet, qu'un nouvel aéroport au-delà d'Appennino, si servait seul Gênes, n'aurait pas un adéquat bassin d'usage pour pouvoir se développer, donnée même la présence d'aéroports voisins. Par conséquent le nouveau hub devrait se substituer aux aéroports de Gênes, de Linate et Torino (qui devraient être des dismessi) et être reliées avec les centres citadins de navettes rapides.
- Donnée l'importance et la complexité d'un scènario ainsi délinéé, nous retenons que la question sur le déplacement de l'aéroport de Gênes doive être examinée dans les justes sièges et qu'il doive rentrer dans la planification logistique à niveau national et interrégional.
- Conclusions
- En conclusion, notre catégorie suggère à un plan régulateur portuaire qui prévoie dans le moyen terme le déplacement et l'élargissement du barrage de Sampierdarena, l'avancement du quai de Voltri et les travaux pour la réalisation du Port d'Afrique ; et dans le long terme l'avancement des quais de Sampierdarena et le remplissage à ridosso du nouveau barrage pour la concentration des trafics liquides, avec le déplacement à Sestri/Multedo des activités de la construction navale de lourd.
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